"Back to flats"
Cela faisait un moment que l'idée de réutiliser des pédales plates sur mon enduro me trottait dans la tête. Pour moi, ça a toujours été une étape clé dans l'apprentissage des bases du pilotage.
A l'inverse des pédales automatiques, les pédales plates ne permettent aucune « triche » de la part du pilote (je pense notamment au fait de tirer sur les pédales pour réaliser un bunny hop). De ce fait elles sont donc un excellent moyen d'apprendre à ne faire qu'un avec sa machine !
J'avais depuis longtemps une paire de pédales plates qui traînaient dans mon garage et le jour où je me suis enfin décidé à franchir le pas, Giro sortait au même moment son modèle RIDDANCE à semelles plates, c'était donc le moment parfait pour essayer !
Dès les premiers tours de roue, j'avais l'impression de découvrir le vélo, d'avoir perdu tout repère. Même un banal bunny hop pour monter un trottoir devenait tout un challenge. J'ai finalement persisté un peu, je savais qu'après tant d'années en automatiques l'adaptation nécessiterait quelques sessions. Petit à petit, virage après virage et saut après saut, une certaine confiance se dégageait finalement et un réel sentiment de liberté sur le vélo est apparu.
Il me faudra néanmoins encore beaucoup d'heures sur ces pédales pour réussir à maintenir mes semelles plaquées contre lorsque la piste devient plus chaotique !
A l'inverse des pédales automatiques, les pédales plates ne permettent aucune « triche » de la part du pilote (je pense notamment au fait de tirer sur les pédales pour réaliser un bunny hop). De ce fait elles sont donc un excellent moyen d'apprendre à ne faire qu'un avec sa machine !
J'avais depuis longtemps une paire de pédales plates qui traînaient dans mon garage et le jour où je me suis enfin décidé à franchir le pas, Giro sortait au même moment son modèle RIDDANCE à semelles plates, c'était donc le moment parfait pour essayer !
Dès les premiers tours de roue, j'avais l'impression de découvrir le vélo, d'avoir perdu tout repère. Même un banal bunny hop pour monter un trottoir devenait tout un challenge. J'ai finalement persisté un peu, je savais qu'après tant d'années en automatiques l'adaptation nécessiterait quelques sessions. Petit à petit, virage après virage et saut après saut, une certaine confiance se dégageait finalement et un réel sentiment de liberté sur le vélo est apparu.
Il me faudra néanmoins encore beaucoup d'heures sur ces pédales pour réussir à maintenir mes semelles plaquées contre lorsque la piste devient plus chaotique !